Archbishop of Cambrai (1698-1764), illegitimate son of the Regent Philippe duc d'Orleans, 1723 by Hyacinthe Rigaud (1659-1743)Zoeken: velvet - zoek alle beelden, kunstdrukken en schilderijen met dit trefwoord en deze kleurPortrait of Jean le Juge and his Family, 1699 by Hyacinthe Rigaud, (French 1659-1743)Hyacinthe Rigaud Autoportrait devant le portrait de François Castanier Musée Hyacinthe Rigaud, Perpigan, France En 1682, il gagna le premier prix de peinture ; le sujet du tableau qu’il composa était le Auparavant, Hyacinthe Rigaud se présente à l’obtention du Le zèle et les talents déjà affirmés du futur portraitiste décident l’assemblée de l’Académie, le « La vérité brillait dans tout ce qu'il faisait [...]. Inscr. Hyacinthe Rigaud : Catalogue raisonné de l’œuvre par Stéphan Perreau - Catalogue Online 48, Mais la fortune propre de Rigaud est toute autre : l’état de ses biens évalué lors de son contrat de mariage de 1703, la production même de ses tableaux et leur prix, l’estimation de l’inventaire après décès en vue de vente et sa clôture. Ecuyer noble citoyen de Perpignan / Professeur de lacadémie Royalle de Peinture / Sculpture, peint par luy même / donné à son amy Mons[ieu]r Dassenet / le 10 juin 1711 »Absent des livres de comptes ; coll. Il semble donc qu'il faille plutôt voir la mère de Adrien-Alexandre, Marie Le Camus (1628-1726)Milan, Civico Museo d’Arte Antica, Castello Sforzesco. Ainsi, Jans Zueil (actif entre 1647 à 1658), dit « le Français » quoique originaire de Si l’on peut, de bonne grâce, prêter foi à cette citation de Nanteuil tirée des Malheureusement, peu d’éléments d’archives ont pu lever le voile sur l’activité de Rigaud à Lyon.
Rien ne lui coûtoit pour soulager sa nombreuse famille, & particulièrement celle de sa femme.
Cité par Olivier Poisson, « Les Rigau (d) », dans Julien Lugand, « Peintres et doreurs en Roussillon », Honoré Gibert, « Dix portraits et dix-neuf lettres de Rigaud et de Largillierre », dans Catalogue de l'exposition tenue à Perpignan et consacrée à Rigaud en 1959, Réception par le couvent des dominicains d’un christ en croix en 1722 : Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 3E6/58, f°26-27. En ce matin du Les témoins de Rigaud étaient pourtant hautement prestigieux, tous clients de l'artiste : le maréchal de France La communauté des biens est envisagée ; mademoiselle de Chastillon n’apportant que 35 000 livres en revenus divers. 333 ; IFFXVIIIe 1951, VII, P. Dr., n°108 ; Lugt, 1938, 557 ; Weigert, 1961, t. IV, n°180, p. 54 ; Rosenfeld, 1981, p. 223, repr. Hyacinthe Rigaud. Il s'agit plus probablement d'Augustin-Antoine de Ferriol (Saint-Chamond, 18 mars 1653 – Paris, 2 février 1736), comte d'Argental, receveur général des finances du Dauphiné, trésorier général du Dauphiné, président à mortier du tribunal de Metz en 1720.Roman proposait comme modèle Jean-Baptiste-François-Joseph de Solre (1686-1737), cinquième duc d’Havré et de Croy, grand d’Espagne, mais, initialement destiné à l’état ecclésiastique, Jean-Baptiste était à cette époque chanoine à Cologne et n’entra au service du roi de France qu’à la mort de son jeune frère, Charles-Antoine-Joseph, tué à Saragosse.L’interprétation de Roman comme étant le portrait d’Edme Ravau de Vielbourg, marquis de Myennes (1665-1720), lieutenant général au gouvernement du Nivernais (1697) ne repose que sur le travestissement du mot Rappelons qu’en 1682, Rigaud avait déjà peint un portrait de l’abbé Joly pour 44 livres. Il a pour ainsi dire amplifié et étendu les draperies de ce célèbre peintre et répandu dans ses compositions cette grandeur et cette magnificence qui caractérisent la majesté des rois et la dignité des grands dont il a été le peintre par prédilection ; personne n’a poussé plus loin que lui l’imitation de la nature dans la couleur locale et la touche des étoffes, particulièrement des velours ; personne n’a su jeter les draperies plus noblement et d’un plus beau choix.
Jean de Julienne ; don à l’Académie, 1766 ; Entré au Louvre, 1887 ; Dépôt à Versailles, 1920).Hulst/3, p. 189 ; Mariette, 1740-1770, III, f°48 v°, n°94, VII, f°16 ; Lelong, 1775, p. 257, n°3 ; Huber, 1787, II, p. 670 ; Paignon-Dijonval, 1810 7364 ; Nagler, 1836, III, p. 47 ; Le Blanc, 1856, II, P. Dr., n°102 ; Firmin-Didot, 1876, P. Dr., n°112 ; Firmin-Didot, 1875-1877, P. Dr., n°478 ; Portalis et Béraldi, 1881, II, p. 20 n°45 ; Guiffrey,1884, p. 64 ; Mireur, 1910, II, p. 535, 538, 540-541 ; Thieme & Becker, 1913, IX, p. 559 ; Soulange-Bodin, 1914, pp. Or ce dernier, dont le patronyme se trouve parfois orthographié Hanivel, Hanyvel, Hennivel ou de Hangvel, s’était marié le 28 avril 1690 à Claude Élisabeth de Harlay (1676 – Paris, 28 août 1758), fille de Françoise Louise Marie Boucherat (mort en 1731) et de Nicolas Auguste de Harlay (qui meurt le 2 octobre 1704), seigneur et comte de Bonneuil et de Cléry. MV5825.
Quatre années furent employées dans cette étude… » » Ce tableau a dix pieds et demi de haut ; il est placé à Versailles, dans la salle du Trône, et celui du roi d’Espagne dans le cabinet de Sa Majesté12 000 livres sont alors déboursées pour trois tableaux. Le En 1698, Rigaud offre leurs effigies respectives au époux de GouySi la date du décès de Jean Le Juge n’est pas encore véritablement connue, il semble avoir disparu dans les années 1706, date à laquelle Rigaud copie de sa main, une seconde version du portrait précédent, également daté et signé à même la toile, en bas à droiteUne fois de plus, le récit de Dezallier d’Argenville, achève de nous éclairer, sur l’aspect tourmenté et tragique de cette année 1743« On ne peut être plus sensible qu’il le fut à la perte de cette femme en 1742 [sic].
Rien ne lui coûtoit pour soulager sa nombreuse famille, & particulièrement celle de sa femme.
Cité par Olivier Poisson, « Les Rigau (d) », dans Julien Lugand, « Peintres et doreurs en Roussillon », Honoré Gibert, « Dix portraits et dix-neuf lettres de Rigaud et de Largillierre », dans Catalogue de l'exposition tenue à Perpignan et consacrée à Rigaud en 1959, Réception par le couvent des dominicains d’un christ en croix en 1722 : Archives départementales des Pyrénées-Orientales, 3E6/58, f°26-27. En ce matin du Les témoins de Rigaud étaient pourtant hautement prestigieux, tous clients de l'artiste : le maréchal de France La communauté des biens est envisagée ; mademoiselle de Chastillon n’apportant que 35 000 livres en revenus divers. 333 ; IFFXVIIIe 1951, VII, P. Dr., n°108 ; Lugt, 1938, 557 ; Weigert, 1961, t. IV, n°180, p. 54 ; Rosenfeld, 1981, p. 223, repr. Hyacinthe Rigaud. Il s'agit plus probablement d'Augustin-Antoine de Ferriol (Saint-Chamond, 18 mars 1653 – Paris, 2 février 1736), comte d'Argental, receveur général des finances du Dauphiné, trésorier général du Dauphiné, président à mortier du tribunal de Metz en 1720.Roman proposait comme modèle Jean-Baptiste-François-Joseph de Solre (1686-1737), cinquième duc d’Havré et de Croy, grand d’Espagne, mais, initialement destiné à l’état ecclésiastique, Jean-Baptiste était à cette époque chanoine à Cologne et n’entra au service du roi de France qu’à la mort de son jeune frère, Charles-Antoine-Joseph, tué à Saragosse.L’interprétation de Roman comme étant le portrait d’Edme Ravau de Vielbourg, marquis de Myennes (1665-1720), lieutenant général au gouvernement du Nivernais (1697) ne repose que sur le travestissement du mot Rappelons qu’en 1682, Rigaud avait déjà peint un portrait de l’abbé Joly pour 44 livres. Il a pour ainsi dire amplifié et étendu les draperies de ce célèbre peintre et répandu dans ses compositions cette grandeur et cette magnificence qui caractérisent la majesté des rois et la dignité des grands dont il a été le peintre par prédilection ; personne n’a poussé plus loin que lui l’imitation de la nature dans la couleur locale et la touche des étoffes, particulièrement des velours ; personne n’a su jeter les draperies plus noblement et d’un plus beau choix.
Jean de Julienne ; don à l’Académie, 1766 ; Entré au Louvre, 1887 ; Dépôt à Versailles, 1920).Hulst/3, p. 189 ; Mariette, 1740-1770, III, f°48 v°, n°94, VII, f°16 ; Lelong, 1775, p. 257, n°3 ; Huber, 1787, II, p. 670 ; Paignon-Dijonval, 1810 7364 ; Nagler, 1836, III, p. 47 ; Le Blanc, 1856, II, P. Dr., n°102 ; Firmin-Didot, 1876, P. Dr., n°112 ; Firmin-Didot, 1875-1877, P. Dr., n°478 ; Portalis et Béraldi, 1881, II, p. 20 n°45 ; Guiffrey,1884, p. 64 ; Mireur, 1910, II, p. 535, 538, 540-541 ; Thieme & Becker, 1913, IX, p. 559 ; Soulange-Bodin, 1914, pp. Or ce dernier, dont le patronyme se trouve parfois orthographié Hanivel, Hanyvel, Hennivel ou de Hangvel, s’était marié le 28 avril 1690 à Claude Élisabeth de Harlay (1676 – Paris, 28 août 1758), fille de Françoise Louise Marie Boucherat (mort en 1731) et de Nicolas Auguste de Harlay (qui meurt le 2 octobre 1704), seigneur et comte de Bonneuil et de Cléry. MV5825.
Quatre années furent employées dans cette étude… » » Ce tableau a dix pieds et demi de haut ; il est placé à Versailles, dans la salle du Trône, et celui du roi d’Espagne dans le cabinet de Sa Majesté12 000 livres sont alors déboursées pour trois tableaux. Le En 1698, Rigaud offre leurs effigies respectives au époux de GouySi la date du décès de Jean Le Juge n’est pas encore véritablement connue, il semble avoir disparu dans les années 1706, date à laquelle Rigaud copie de sa main, une seconde version du portrait précédent, également daté et signé à même la toile, en bas à droiteUne fois de plus, le récit de Dezallier d’Argenville, achève de nous éclairer, sur l’aspect tourmenté et tragique de cette année 1743« On ne peut être plus sensible qu’il le fut à la perte de cette femme en 1742 [sic].