Le Cameroun dispose de 360km de côtes dans la poche Ouest du Golfe de Guinée et d'un important réseau hydrographique, de plaines d'inondation, de marais, de lacs naturels et de retenues d'eau, qui permettent une pêche continentale.Le PIB halieutique s’élève en 2013 à 155MddeFCFA (236,3M€).En 2012, la production halieutique s’est établie à 64 741tonnes, elle se compose principalement de la pêche industrielle, de la pêche artisanale et de la pêche continentale.La production de la flottille de pêche industrielle s'est élevée en 2012 à 13 013tonnes.Le Cameroun dispose d'une stratégie de développement rural et va élaborer prochainement un Le Cameroun souhaite mettre en place un organisme de financement de l’agriculture (banque agricole) mais se heurte à un manque de fonds en la matière.Le Cameroun souhaite, dans le cadre du Document de stratégie pour la croissance et l'emploi, lancer un vaste programme d’accroissement de la production agricole en vue de satisfaire non seulement les besoins alimentaires des populations, mais également des agro-industries. Le Cameroun est un pays ACP (Afrique-Caraïbes-Pacifique) non PMA (pays les moins avancés).
Des passages de cet article sont désuets ou annoncent des événements désormais passés. Le gouvernement vise d’ici 2020 à atteindre une production de 600 000t de cacao, de 150 000t de café robusta et de 35 000t de café arabica. L'agriculture du Cameroun est la principale source de croissance et de devises du pays, jusqu'à 1978 quand la production de pétrole a démarré. à ce titre, il ne bénéficie pas de l’initiative Tout sauf les armes.. En particulier, le nombre important de PME-PMI fondées par des Franco- Camerounais témoigne de la vitalité des liens économiques tissés entre les deux pays.Le deuxième C2D (contrat de désendettement et de développement), portant sur la période 2011-2016, est largement affecté à l’agriculture et au développement rural.Des actions sont conduites avec le MAAF dans le secteur de la formation.La France et le Cameroun ont signé le 21 mai 2009 un Accord relatif à la gestion concertée de l'immigration.L’agriculture est un secteur clé de l’économie camerounaise qui lui assure son autosuffisance alimentaire et des devises. Ceci représente environ 6 % des exportations camerounaises (22 % des exportations de produits agricoles). Le réseau Cameroun de l'enseignement agricole français, qui regroupe une dizaine d'établissements menant des échanges de long terme avec ce pays, est également partenaire de ce programme.La poursuite de ce travail au sein du programme AFOP2, toujours soutenu par l'AFD, est en cours depuis 2014, avec à nouveau l'assistance technique d'un consortium d'établissements et d'organisations de l'enseignement agricoleParallèlement à ce travail, et dans le cadre du renforcement des relations entre les institutions françaises et camerounaises en charge de la formation agricole et rurale, cinq agents chargés de la mise en oeuvre d’AFOP au Cameroun (fonctionnaires des deux ministères de l'agriculture et du développement rural, MINADER, et de l'élevage, des pêches et des industries animales, MINEPIA, ainsi que deux responsables d’établissement) ont été reçus en France en janvier 2014. Soutenu par les autres pays ACP, le Cameroun considère que l’accord signé par l'UE va à l’encontre de ses intérêts en opérant une forte érosion des préférences commerciales accordées historiquement dans le cadre plus général des accords de Cotonou.La forte baisse du droit multilatéral de la banane couplé aux négociations bilatérales conclues entre l’UE et les pays d’Amérique Latine producteurs de «banane dollars » (Pérou, Colombie, pays d’Amérique Centrale) devrait fragiliser ce secteur. à ce titre, il ne bénéficie pas de l’initiative Le pétrole occupe une place importante dans l’économie camerounaise (54,5% des exportations en valeur en 2013).Le secteur agricole représente 22,9% du PIB du pays en 2013 et emploie 62% de la population active.Avec ses 160 filiales et ses 200 entreprises présentes au Cameroun, la France fait partie des tous premiers investisseurs étrangers dans ce pays.
Au Cameroun, l'agriculture représente plus de la moitié des recettes d'exportation non pétrolières et emploie presque 60 % de la population active. L’ADEPTA a ouvert, à l’automne 2010, un premier bureau de représentation, à Dakar, pour couvrir l’Afrique de l’Ouest).Le nombre de mobilités d'apprenants et d'enseignants dans le pays a décru du fait des difficultés en matière de sécurité pour les ressortissants français en Afrique, conséquentes à l'intervention française au Mali et à l'enlèvement de Français au Nord-Cameroun. Cependant malgré ces défauts (en passe d'être peu à peu résolues), le Cameroun jouit d'une agriculture dynamique qui réussit non seulement à atteindre l'auto suffisance alimentaire à plus de 80 %, mais aussi à stimuler les exportations des produits de consommation vers les pays voisins qui sont enclavés (Le secteur souffre toutefois de sa dispersion avec des exploitations de superficies moyennes d'environ La Sodecoton exporte environ 90 % du coton récolté. le plus utilisé à l’Ouest-Cameroun passe . Depuis 1988, les exportations de bananes ont enregistré un taux de croissance annuel de 10%. Un accord conclu à l’OMC en novembre 2012 a définitivement mis fin au contentieux.Le Cameroun est Coordinateur régional pour l’Afrique au sein du Codex alimentarius.Le Cameroun a atteint le Point d'achèvement de l’initiative PPTE (Pays Pauvres Très Endettés) le 28 avril 2006. Pour atteindre ces niveaux de productions, il sera nécessaire de développer de nouvelles plantations.La production de coton de la campagne 2013/2014 s'est élevée à 240 000t (elle a été financée à hauteur de 8,5Md de FCFA (13M€) par la BID et 35,5Md de FCFA (54M€) par cinq banques locales), contre 210 000t pour la campagne 2012/2013.
À ce jour, l'industrie bananière emploie directement 15000 personnes dans les zones rurales.