Les danseurs portent aussi souvent une houppe ornée de plumes d’aigle, ainsi que des Certaines traditions prétendent que cette danse lente autour du cercle symbolise l’attente des femmes au village, alors que leurs époux sont au combat. Il y a deux sortes de pow-wow : les pow-wow de compétition, et les pow-wow traditionnels. Il raconte par ses danses des histoires de chasse et de guerre vécues par ses ancêtres. Si un danseur perd une pièce d’ornementation pendant la prestation, il pourrait se voir disqualifié de la compétition.
Après la Les mouvements des danseurs imitent ceux des oiseaux et d’autres animaux bien connus des chasseurs, démontrant au passage comment piéger certaines créatures. Certains danseurs y vont toutefois de faux pas de danse qui font croire à une perte d’équilibre.
Certains prétendent que la danse imite aussi le vol de l’
Les pow-wow traditionnels se tiennent dans les communautés locales, sans compétitions de danse ou de tambour de groupe. Les théories sont nombreuses quant aux origines de la danse des clochettes. La plupart des danses de pow-wow sont exécutées individuellement. On peut définir les pow-wow comme étant traditionnels ou compétitifs. Les pas de danse de la danse libre des hommes sont plus énergiques que ceux des danses traditionnelles et incorporent une grande variété de mouvements créatifs comme des culbutes, des grandes roues et des grands écarts pour impressionner les juges de la compétition.
Elles peuvent souligner ces mots spéciaux en élevant leurs éventails. Les pow-wow compétitifs, eux, prévoient différentes catégories de danses pour les femmes, les hommes et les enfants. Les danseurs qui exécutent la danse des herbes sacrées portent de longs costumes colorés souples dotés de franges, tenues qui les distinguent des autres danseurs du pow-wow. Lors du pow-wow de la tribu de l'Iowa de l'Oklahoma en 2014, le public a été surpris et émerveillé lorsqu'un Marine s'est joint à la danse. Les danseurs doivent s’assurer que leur ornementation est bien en place avant le début de la danse. En outre, les danses de pow-wow, la musique des tambours, les chants et l’ornementation sont tous des éléments sacrés de la célébration, conçus non seulement pour divertir, mais également pour raconter d’importants récits sur l’histoire personnelle et culturelle autochtone ( L'amendement de 1880 apporté à la À la suite de cet amendement et des répressions sévères qui en ont résulté, des leaders autochtones ont tenté de négocier avec le gouvernement canadien pour obtenir le droit de danser, promettant entre autres que les danses n'impliqueraient pas de cérémonie de dons, et qu'elles seraient écourtées pour se conformer aux jours traditionnels de repos des non-autochtones, soit les fins de semaine. Selon certains, les pas de danse de la danse libre du châle des femmes évoquent le vol du papillon. Il s'agissait traditionnellement d'un événement religieux (chamanisme) ou de la célébration d'exploits guerriers. Les robes sont également décorées de rubans, de dents de Chaque danseur, à sa façon, honore le guerrier en lui. Comme la danse des clochettes est une danse de guérison, on demande souvent aux danseuses de dédier leur danse à un membre malade, souffrant ou blessé de la communauté ou de la famille. La danse traditionnelle des hommes autochtones, celle qui est exécutée depuis le plus longtemps dans les pow-wow compétitifs, est aussi celle qui est le plus étroitement liée aux danses des sociétés de guerriers du XIX Cela symbolise le lien inhérent entre les femmes et la terre nourricière. Les styles modernes de cette danse se caractérisent par des pas de danse à la fois complexes et contrôlés, démontrant l’élégance, l’agilité et l’endurance des danseuses. Toutefois, on s’accorde souvent à dire que cette danse est née en territoire Les pas de danse sont plus sophistiqués que ceux des danses traditionnelles, quoique moins extravagants que ceux de la danse libre. Les hommes ajoutent à leurs pas de danse des mouvements de la tête et des bras, agitant les épaules et balançant le torse d’un côté à l’autre. Les danses qui accompagnent les pow-wow se veulent un hommage spectaculaire à la spiritualité, à l’histoire et à la culture autochtones. Selon certains autres, cette danse serait apparue au retour d’Europe des soldats autochtones après la On dit qu’un Sauf peut-être en ce qui concerne l’exigence principale, pour les danseurs, de suivre le rythme du tambour, la danse libre s’exécute de manière relativement libre; en général, ce sont les plus jeunes membres du pow-wow compétitif qui la choisissent. Les mouvements sont ceux d’une marche élégante, avec seulement quelques pas vers l’avant dans le cercle de danse et des mouvements de pieds très subtils. Au cours d’une danse traditionnelle des femmes, les pieds des danseuses ne doivent jamais quitter complètement le sol. On peut définir les pow-wow comme étant traditionnels ou compétitifs. Les mouvements de danse s’inspirent des prouesses des guerriers et des chasseurs.
Leurs cérémonies traditionnelles de pow-wow sont l'un des nombreux moyens dont disposent les Amérindiens pour conserver leurs racines, quoi qu'il arrive dans le reste du monde.