La quantification du signal vidéo est uniforme, linéaire et s'effectue de façon séparée sur Cr et Cb. Initialement fixée sur [[unité|8 Le signal de luminance est toujours positif et ne pose pas de problèmes à numériser, en revanche les signaux de chrominance sont bipolaires. Se basant sur les sensibilités de l'œil aux différentes couleurs, les spécialistes prirent 59 % de vert, 30 % de rouge et 11 % de bleu. Il est donc nécessaire que le rythme de découpage (fréquence d’échantillonnage) soit élevé pour pouvoir retranscrire les variations du signal les plus brèves, car si l’intervalle de temps entre deux échantillons consécutifs est supérieur au temps de la variation la plus rapide du signal d’origine, cette dernière se trouvera perdue et ne sera pas prise en compte dans le signal numérique.
Le substantif vidéo s'accorde en nombre, cependant, l'adjectif reste toujours invariable. Ce système devrait donc apparaître comme étant l’accessoire principal d’un développement de nouveaux équipements, mais aussi et surtout d’un échange international de données, constituant la base de l’audiovisuel : la communication. Il fallait donc fabriquer du noir et blanc à partir des trois composantes RVB. Elle est alors équipée d’une pédale qui, quand on appuie dessus, fait tourner la roue arrière. Il est directement suivi de la quantification qui consiste à convertir la valeur de l'échantillon en valeur numérique représentée par un nombre entier (Cf. Un film complet pouvait prendre plusieurs jours à être téléchargé.2005 : En avril, la toute première vidéo est uploadée sur YouTube. Un système basé sur le codage numérique des composantes vidéo exclut tous les problèmes qu’auraient pu engendrer un codage de signal vidéo composite et permet une compatibilité à échelle mondiale. Ceci représente une différence de 49 lignes en 50 Il faut distinguer deux fréquences de balayage de l’image : La précision du pesage dépend donc de la valeur du plus petit poids disponible. Les formats d'image standards sont déclinés en un nombre variable de couleurs (de C'est à cause des fréquences de balayage différentes qu'il n'est pas possible de brancher un ordinateur directement sur un téléviseur, cela peut même entraîner la destruction du téléviseur. Les micro-ordinateurs 8 bits et les premiers 16 et 32 bits étaient destinés à un branchement sur un appareil de télévision, leur sortie vidéo était donc en 740/50 ou 525/60. Il s’effectue, pour reprendre notre analogie, à l'aide d'une balance à deux plateaux : dans un des plateaux se trouve l’échantillon à peser, dans l’autre les poids nécessaires pour trouver l’équilibre.

C'est l'apocope de vidéophonie ou vidéogramme. En vidéo, le poids de l’échantillon est la tension du signal électrique à numériser et la balance un quantificateur. Les lignes analogiques des systèmes à 625 et 525 lignes sont de durées légèrement différentes. Le signal de chrominance est ensuite une sous-porteuse de la luminance… Le but de la manœuvre est donc de choisir le code le plus adapté à l'utilisation. Selon les rectifications orthographiques du français en 1990, l'adjectif suit désormais la règle générale : l'adjectif s'accorde en nombre. Ainsi sont nés le Aucune des trois solutions n'est néanmoins transparente, tant s'en faut.
À chaque instant « t », l'amplitude du signal se trouvant à l'intérieur d'un échelon est remplacé par la valeur de l'échelon le plus proche. Quelques années plus tard, un format grand public apparut : le S-Vidéo ou Y/C, où la luminance Y et la chrominance C (codée en NTSC, PAL ou SECAM) étaient séparées (Pour la vidéo, le phénomène est identique : il est nécessaire avant toute chose de connaître le signal et de savoir quels sont les signaux à numériser. Le CCIR a choisi 720 échantillons pour le signal de luminance et 360 pour les signaux de chrominance. Et le reste du monde, le PAL Phase Altération Line (distinction des deux différences envoyées en même temps et avec des phases différentes).