L’intrigue est maîtrisée de bout en bout, avec intelligence et justesse. Chaque personnage va dévoiler son histoire, sa souffrance, son enfance, ses secrets. Tous sont victimes et leurs souffrances marquent les pages du récit d’Antoine Renand. Son chemin est parsemé d’embûches. Des flashbacks qui nous permettent de mieux comprendre le pourquoi du comment, mais qui parfois sont presque inutiles. Et je rame. Croyez-moi, vous allez avoir des surprises car les choses sont loin d’être aussi simples qu’elles n’y paraissent… Et là, le titre du livre, L’empathie, prend tout son sens.
En même vous me direz à La brigade des viols, des choses plaisantes il ne doit pas y en avoir des masses. Je continue de ramer, encore, sans m’arrêter. Il se fout de moi le Renand !
Anthony, Marion, Louisa, Déborah et même le terrible et terrifiant Alpha : la psychologie de chacun ou chacune est vraiment disséquée dans ses moindres détails, toujours pour permettre de mieux les comprendre et tenter de les aimer. Je ne vais y aller par quatre chemins, ce livre n’était pas fait pour moi. Et ensuite parce qu'on va rapidement découvrir que ce n'est pas une fenêtre fermée, quel que soit l'étage où elle se trouve, qui arrêtera Alpha. On passe par tous les stades, de la tristesse, de l’empathie à l’incompréhension, à la rage, tout en gardant en tête que tout se joue enfant… Alors oui, on dit souvent que l’on ne naît pas violeur ou tueur et fort heureusement, mais l’enfance est le point d’ancrage de notre futur moi adulte. Pour certains lecteurs je ne sais pas mais en tout cas pour moi, mission réussie car je ne me suis pas embêtée une seconde.
Cet article : L'Empathie par Antoine RENAND Poche 7,95 € En stock. Vos articles vus récemment et vos recommandations en vedette »Beaucoup ont parlé de terreur. La 4eme de couverture m avait fait pensé à *Level 24* que j’avais énormément aimé et qui était vraiment flippant. Peut etre que j’avais mis la barre trop haute en voyant autant de critiques élogieuses sur ce roman.Dans son ensemble, il reste un bon roman très cohérent, je ne peux pas dire que la lecture etait addictive mais l’auteur nous interesse suffisamment pour qu’on est envie de le terminer.C’est un premier roman alors il faut etre indulgent car l’auteur se défend quand même très bien. Un type aux cheveux bruns, longs.
Gérard Collard & Jean-Edgar Casel Dans le Petit Robert, la définition de l'empathie est la "capacité de se mettre intuitivement à la place de son prochain, de ressentir la même chose que lui, de s’identifier à lui ». Son but ultime, devenir une sorte d’icône craint et adulé à la fois. En effet, depuis sa parution originale en janvier 2019, pas un mois ne passe sans critiques élogieuses, articles de presse, prix reçu. Pourquoi ? Détaillée, visuelle, juste. Pas possible ?! Puis il examina l’homme à ses côtés. Par ses réflexions sur la justice, Louisa ne vous laissera pas dormir sur vos deux oreilles. Et en plus quand tu sais que c'est un premier roman c'est juste incroyable d'être aussi bon et dans l'écriture et dans l'histoire. Puis il examina l’homme à ses côtés. En général, je lis en décalé, pour laisser retomber la pression des différents retours.
Ce qui est assez dérangeant puisque le sujet est grave.J’avoue avoir été agréablement surprise par la plume de l’auteur. J'ai été autant surprise que déroutée ou angoissée à la lecture de ce roman. Un livre qui vous fera changer d’avis comme de chemise. 18 janvier 2019 par Aude Bouquine | 0 Commentaire. Franchement vu le métier de l'auteur, il peut se lancer dans adaptation ciné.
L’empathie, d’Antoine Renand est sûrement LE livre qui a le plus fait parler de lui lors de cette rentrée d’hiver.