Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.Professeur d’économie à l’Ensae, Institut polytechnique de ParisFermer la bandeau d’une raison de s’abonner au journal Le Monde. Au-delà du Mondial 2019, son objectif est de conduire ses joueuses à un sacre lors des Jeux olympiques 2020, organisés à Tokyo.Parce que les Japonaises n’ont jamais digéré leur défaite (5-2) face aux Américaines, en finale du précédent Mondial, à Vancouver.Vainqueur en 2011 et finaliste malheureux en 2015, le Japon fait figure de poids lourd sur la ligne de départ. Elle profite de son parcours scolaire pour jouer dans les clubs locaux avant d’opter pour la filière « sport-étude » au lycée Tokiwagi Gakuen de Sendai, vivier de talents, à 600 km de chez ses parents.Fondation du FFC Francfort, par où la Nipponne a fait un crochet (2011-2013) et avec lequel la joueuse échoua en finale de Ligue des champions, en 2012, face à l’OL, son futur club.Cette année-là, le sélectionneur Norio Sasaki offre à la défenseuse sa première apparition sous le maillot de l’équipe nationale contre le Canada.

Champion du monde en 2011, finaliste en 2015.Akaya Yamashita, Risa Shimizu, Saki Kumagai, Moeka Minami, Ayaka Sameshima, Narumi Miura, Hina Sugita, Yui Hasegawa, Emi Nakajima, Kumi Yokoyama, Rikako Kobayashi.Asako Takakura, 51 ans, est une pionnière et légende du football japonais.

Les joueurs français n'ont pas cessé de faire la fête après avoir gagné la Coupe du monde, que ce soit sur la pelouse de Loujniki ou dans les vestiaires avec le président de la République. Sur le papier, les joueuses d’Asako Takakura ont l’habitude des grands événements.Les matchs de préparation, marqués par des prestations décevantes contre l’Angleterre (défaite 3-0), les Bleues (défaite 3-1) ou l’Espagne (1-1), ont suscité quelques réserves, et l’échéance des JO 2020 à domicile peut reléguer ce Mondial au rang de compétition de transition.C’est sur l’île d’Hokkaido, à Sapporo, que Saki Kumagai voit le jour. Keylor Navas vs Thibaut Courtois - Who is the Best? WHAT A SAVE 4,764,082 views Elle a notamment participé aux Coupes du monde 1991 et 1995 et aux Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996 avec la sélection nipponne. Laquelle participe, quelques mois plus tard, à la Coupe d’Asie, au Vietman : les Nipponnes terminent sur la dernière marche du podium.A 20 ans, Saki Kumagai inscrit l’ultime tir au but de la séance en finale du Mondial allemand et permet au Japon de décrocher le tournoi à la barbe des Etats-Unis (2-2 à l’issue des prolongations).La joueuse pose ses chaussures cramponnées à l’Olympique lyonnais. Ce dernier restera connecté avec ce compte.Non. Les Japonaises ont accédé en finale à deux reprises : en 2011 où elles l'emportent sur les États-Unis, et en 2015 où elles se classent secondes derrière le même pays. Le tableau ci-contre récapitule les performances du Japon en Coupe d'Asie des nations. En 2011, le Japon est devenu la première équipe asiatique à remporter une Au cours des années 1970, le nombre de joueuses de football augmentent de façon significative au Japon, et ceci donne naissance à plusieurs ligues régionales de football féminin dans diverses provinces du Japon. Pour l'équipe masculine, voir Parcours en Coupe d'Asie des nations de football fémininParcours en Coupe d'Asie de l'Est de football fémininPrincipales joueuses notables d'hier et d'aujourd'huiPrincipales joueuses notables d'hier et d'aujourd'hui Affaiblie par la crise sanitaire, l’Algérie cherche à se diversifierLes géants de la technologie américaine redoutent les conséquences des sanctions contre la ChineIl est possible de « faire rentrer le coût carbone dans les comptes financiers publiés par les entreprises »Pourquoi une partie des Alpes est en train de s’effondrerFace à la sécheresse, des projets pilotes pour recharger les nappes phréatiques françaisesAu Liban, un système politique unique au monde (et en panne)Covid-19 : comment certains malades deviennent des supercontaminateurs« La pandémie de Covid-19 va renforcer les disparités raciales et ethniques »« Les espaces d’inventivité et de solidarité, nouveaux communs urbains, doivent pouvoir accéder à l’immobilier »« Avant de relancer le ferroviaire, commençons par le sauver »La condition animale, sujet légitime de débat publicReprise : « Scanners », le bon télépathe et son antagoniste luciférien« La Nef des fous », best-seller inattendu aux Etats-Unis en 1962« Au pays des bobos » : transition névrotico-comique vers la campagneS’aimer comme on se confine : « Il n’avait pas envie de venir et maintenant on va rompre »S’abonner, c’est consulter dès 7 heures la sélection de la rédaction avec l’application La MatinalePublié le 07 juin 2019 à 10h46 - Mis à jour le 07 juin 2019 à 15h30Huitième participation à une phase finale en huit éditions. La médaille d’argent décrochée aux Jeux olympiques de Londres, en 2012, et le titre de championnes d’Asie décrochées en 2014 et en 2018 ont renforcé leur prestige et accru leur notoriété.L’expérience de la génération dorée incarnée par Saki Kumagai et Rumi Utsugi (plus de 200 sélections à elles deux) et sa capacité à se projeter vers l’avant demeurent les principaux atouts des Nadeshiko.

Le tableau ci-contre récapitule les performances du Japon aux Jeux olympiques.

L'équipe du Japon de football féminin continue sa participation à différents tournois internationaux dont la Coupe du monde féminine de 1995 et les Jeux olympiques de 1996. En avril 2016, elle devient la première femme à être nommée à la tête des « Nadeshiko Japan » et remporte la Coupe d’Asie deux ans plus tard. Le Japon est considéré comme l'une des nations fortes du football féminin.