Elle meurt de faim et de froid. De quelle façon Émile Zola dénonce-t-il la misère de la classe Swp to page uvrière? 5), « une « silence de crevaison (1. 5), « les murs sonnaient creux comme es ventres vides» (1,5), « une crampe au gosier générale » (l. ). 5), « mioches affamés » (1. La boutique est un lieu chaleureux où les gens viennent se réchauffer en hiver. Elle emploie deux femmes et une apprentie. Certes, elle une opinion défavorable du genre humain, ou du moins masculin : « Si elle devenait mauvaise et détestait les hommes, à cause de son mari » (1. Tout le quartier médit de ce ménage à trois.C’est le début de la ruine pour Gervaise. 15).
rg Nous étudierons a de la classe ouvrière, du Père Bru et de Ge préciser la prise de c p ro étique que fait Zola es deux personnages rastées pour enfin 3), « odeurs de cuisine » (1. 8), « faute de nourriture » (1,9), « fam » (1.

Il tente de forcer Gervaive à louer sa boutique à Virginie, mais elle résiste.Les Coupeau déménagent au 6ème étage à côté des Lorilleux. Chapitre 13 : Étienne envoie 10 francs à sa mère, ce qui lui permet de manger. Résumé. Coupeau fait plusieurs crises de folie. On la remarque aussi par un contraste entre les sons puisque l’on retrouve le champ lexical des cris et des lamentations ainsi que celui du silence : « entendait râler autour d’elle » (1,2), « des danses s’élevaient » (1.

Le repas de noce est gargantuesque. Lantier prend pension chez les Copeau. C’est une jeune femme boiteuse, mais encore séduisante. Gervaise héberge le père Bru le jour. La sœur d’Adèle, Virginie, nargue Gervaise Macquart au lavoir. 6), « des plaintes de mioches » (1,6) et « silence de crevaison » (1,5), « les murs sonnaient creux comme des ventres vides » (1. Il craint pour l’avenir de ses employés.

Résumé du chapitre X de L'assommoir. Coupeau et elle ont vendu leur lit. Chapitre 1 : 12 pages à lire. Gervaise rembourse de moins en moins les Goujet qui lui ont prêté l’argent pour sa boutique. On constate d’abord la mise en scène de la misère grâce au registre pathétique, à l’imparfait qui est le principal temps utilisé dans le texte: « souffrait (1. 5), « s’élevaient » (1,6), « se mangeait » (1,6) etc. Gervaise et lui la violentent. Ils doivent laisser les meubles à Virginie. Sa vie n'est plus ce qu'elle avait espérée. Goujet se rapproche de Germaine.Gervaise vient voir Goujet à son travail.

Gervaise accepte d'épouser Coupeau, quelque temps après. Les voisins ne s’aperçoivent pas tout de suite de sa mort. 6), « des familles qui se mangeait pour tromper leur estomac » (l. 6-7), « bouche tendues » (1. Les Coupeau négocient avec le propriétaire pour refaire leurs papiers peints. 3), « avaient (1.

Auguste part vivre en concubinage avec Adèle. Elle emprunte même pour son loyer maintenant. Cette dernière fête achève l’exploration de la culture populaire qu’a tentée Zola dans un roman de l’alcoolisme qui est aussi une étude ethnographique : on y apprend comment on se marie, comment on vit et comment on meurt dans le petit peuple des faubourgs.
Ils sont maintenant dans un tout petit appartement qui n'a qu'une chambre et un cabinet.

Sa clientèle s'éloigne de plus en plus de sa boutique pour aller chez madame Fauconnier. Les Lorilleux sont les parrains de Nana.

Nana court les hommes.

Lantier ne paie rien et Gervaise doit entretenir les 2 hommes. Ce n’est que l’odeur qui les alerte. Extrait du chap 10 :" C'est que, dans le ménage des Coupeau, le vitriol de l'Assommoir commençait à faire aussi son ravage. 4), « ventre vide » (1. 21), « car c’était bien inutile d’aller gagner dehors de l’appétit, lorsque personne ne l’avait invité en ville » (l. 12-13). Elle rencontre Virginie, la sœur de cette dernière, au lavoir. Elle se moque de Gervaise, de son boitement et la surnomme : « Banban ».Nous sommes 4 années plus tard. Virginie se sent humiliée. Nana quitte définitivement les Coupeau.On ne veut plus de Gervaise nulle part. Elle l’insulte en quittant la table des invités.