En 547, il annexe la Lydie de Crésus qui dominait l'Asie mineure, puis assujettit les cités côtières grecques de l'Ionie et des Dardanelles .
Thasos, un autre membre de la Ligue, a également fait défection lorsque, en 465 avant J.-C., Athènes a fondé la colonie d’Amphipolis sur la rivière Strymon, ce qui a menacé les intérêts de Thasos dans les mines du Mont Pangaion. Les guerres médiques ouvrent l'histoire du 5e siècle grec. Les conséquences des guerres médiques À la suite du succès des Grecs alliés, un important contingent de la flotte perse fut détruit et toutes les garnisons perses furent expulsées d’Europe, marquant ainsi la fin de l’avancée de la Perse vers l’ouest du continent. L'Empire est dirigé par les rois archéménides.
Les guerres médiques accroissent le prestige et la puissance d’Athènes qui prend, en 478 avant J.-C., la direction de la ligue de Délos. Pralon, « Entre la mémoire et l'oubli : le fragment de la tragédie, Phrynicos », dans A. Bouvier Cavoret (dir.
Ce sont les cités de Doriscos, Eïon et Après la mort de Miltiade, les luttes politiques athéniennes opposent les démocrates menés par Thémistocle, parvenu au pouvoir juste après Marathon, et des aristocrates comme Les préparatifs perses ne sont évidemment pas passés inaperçus. Ainsi, Ctésias évoque 800 000 hommes et 1 000 trièresLes historiens contemporains ont généralement revu ces chiffres à la baisse, ne serait-ce que pour des raisons logistiques et d'approvisionnement en eau impliquées par les chiffres d'Hérodote, mais leurs estimations varient assez fortement. En revanche, ils ne possèdent pas de cavalerie. Les Grecs renouent avec leurs querelles intestines dès que le péril est passé. Il gagne la Béotie, est rejoint par les cités médisantes et rase Pour les Athéniens, la situation est difficile. Aristagoras commence à craindre d'être destitué ou même assassiné : il n'a pas d'autre choix que de se révolterMalgré cette union, Aristagoras sait qu'il est en infériorité militaire face à Artapherne. À partir de 449 avant J.-C., les Perses tentent d’aggraver les tensions croissantes entre Athènes et Sparte, et vont même jusqu’à corrompre les politiciens pour atteindre ces objectifs. Au VI siècle av. Cependant, malgré leurs succès, les butins de la guerre ont provoqué un conflit interne plus important au sein du monde hellénique. Dès la première moitié du Par la suite, les guerres médiques restent importantes dans la mémoire et l'identité d'Sauf précision contraire, les dates de cette page sont sous-entendues « La version du 10 septembre 2010 de cet article a été reconnue comme « La stratégie d'Aristagoras, déclencheur de la révolteLa contre-attaque grecque : le cap Mycale et le siège de SestosLa stratégie d'Aristagoras, déclencheur de la révolte« tant que le soleil suivrait son chemin habituel »« le fait d'être Grec, de partager le même sang et la même langue, d'avoir des sanctuaires et des sacrifices communs ainsi que des mœurs semblables »La contre-attaque grecque : le cap Mycale et le siège de Sestos« deux siècles, aucune phalange grecque ne put être vaincue par les troupes perses »Miltiade est un adversaire résolu d'Hippias, lequel avait fait assassiner son père.Sur un total d'environ 30 000 citoyens selon Raoul Lonis (« attira les citoyens d'Athènes vers la marine en leur assurant que par elle ils parviendront non seulement à se défendre contre les Barbares mais que plus tard, ils dicteront la loi aux autres Grecs »Les « Portes Chaudes » à cause des sources thermales qui s'y trouvent.Dans le monde grec, les armes ont une signification sociale et politique, les aristocrates combattent à cheval, les petits propriétaires forment la majorité de la phalange, les pauvres servent comme rameurs sur les trières, ainsi Ce qui manqua d'arriver à son père Darius lors de sa guerre contre les Scythes et c'est ainsi que Cyrus II périt lors d'une de ses conquêtes orientales.Airton Pollini, « Hérodote le père de l'Histoire », Emmanuel Laurentin, Pierre Judet de la Combe, Brigitte Le Guen et Silvia Milanezi, « « même Alexandre le Grand ne commanda jamais autant de soldats »D. Dans le chapitre « Les guerres médiques » : […] Ces systèmes d'alliance ne tardèrent pas à être mis à l'épreuve à l'aube du v e siècle. Les fantassins quittent la cité de Eurybiade, devant l'importance des forces ennemies, quitte l'Artémision et longe le canal d'Eubée pour occuper l'étranglement de À Chalcis, Eurybiade reprend confiance et remonte prendre sa garde à l'Artémision pour protéger les arrières de Léonidas. La révolte de l’Ionie représente un épisode décisif vers la confrontation entre Grecs et Perses.