La tragédie de sa destinée résonne avec encore plus de force avec l’excellent épisode III. Comment ne pas se surprendre à s’imaginer Seigneur Sith lorsque cette musique résonne à chaque apparition de Vador ?Mais le plus incroyable dans Dark Vador, c’est son destin. Voici quelques tweets sur les méchants qu’o. Vous n’oublierez jamais Hannibal le cannibale.Le point culture : Le Silence des Agneaux n’est pas la première apparition sur grand écran d’Hannibal Lecter, personnage issu des romans de Thomas Harris. Son apparence, ses yeux écarquillés, son demi-sourire, son regard fixe qui ne cligne quasiment jamais, tout cela devrait nous effrayer.
!Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Ses scènes cultes sont innombrables, et le personnage parvient même à être un moteur comique de l’intrigue, notamment dans sa relation avec Sam. Jack Nicholson est peut-être le seul acteur au monde à pouvoir jouer aussi bien sur la frontière avec le surjeu, voire en surjeu total.Le personnage de Jack Torrance en est la plus belle illustration. Il prévoit tout, toutes les alternatives, et semble perpétuellement avoir un coup d’avance sur Batman, et sur l’ensemble des personnages. Tout dans Dark Vador est culte. La bête semble avoir un contrôle total sur la ville, se réveillant et s’endormant en fonction des violences commises. Mais ce n’est que pour mieux reprendre son jeu de menace souriante, tout en présence.En plus, le comédien se permet d’improviser : les applaudissements après la nomination de Gordon ou encore le jeu comique devant l’hôpital qui n’explose pas.
On vous raconte 10 films cultes dans lesquels les méchants finissent par gagner ! John Doe, fanatique religieux, est dégoûte par le monde qui l’entoure, qu’il considère abject et décadent, rempli de païens. Il est le Joker. Comédie, tragédie, folie : ces trois concepts se réunissent parfaitement dans le Joker. Le Joker est le symbole d’un monde perdu, sa création première, une sorte de rejeton du chaos, venu terminer le travail.On n’a jamais vu un méchant aussi jouissif et en même temps aussi profond.
Alors certes, les films qui ont suivi et étendu le mythe n’arrivent pas à la hauteur du classique « Le Silence des Agneaux », mais qu’importe. Seven est une expérience dont on ne sort que rarement indemne.Sa scène : son discours dans la voiture, où il évoque ses victimes avec mépris et dégoût.Le point culture : John Doe, en anglais, désigne un quidam.Le voila, le meilleur personnage de la Trilogie du Seigneur des Anneaux. Ce personnage de clown grimaçant, hyperactif et destructeur est à la fois jouissif et terrifiant. Oui, si l’on observe les films dans l’ordre, de l’épisode I à l’épisode VI, il faut se rendre à l’évidence : le véritable (anti-)héros de Star Wars est Anakin Skywalker, alias Vador, alias l’élu de la force. Le Joker paraît quasi-omniscient dans le film de Nolan. Si le Joker nous marque autant, c’est aussi parce que nous même éprouvons plus ou moins inconsciemment de la sympathie pour cette vision. Il s’y installe avec sa famille, espérant profiter de son temps libre pour retrouver de la créativité. Traumatisé par la mort de sa mère, il semble hanté par son fantôme au point de se déguiser en elle pour la faire revivre et en profiter pour tuer les femmes qui arrivent au Motel.Psychose a beau avoir vieilli, le chef d’œuvre du maître Hitchcock demeure un classique du suspense, à voir pour tout cinéphile.
Batman ne peut pas tuer le Joker parce qu’il est le héros, et, au-delà, Batman a besoin du Joker. Aragorn et sa badasserie, Légolas et son soleil rouge, Pippin et sa collation de midi, tous coiffés aux poteaux par un semi-homme dégénéré, rampant et dialoguant avec lui-même. Mais ce qui est le plus incroyable, c’est que c’est justement cette absence de finesse qui le rend génial. Plus conforme aux codes plus noirs qui conviennent aussi bien à Batman, le Joker de Ledger est stratosphérique.Commençons par le plus évident : la performance d’acteur. tu aimeras ça aussi. Il est le premier film du genre « horrifique » a avoir gagné l’Oscar du meilleur film. La vie, du côté top. Comme en écho : il pleut quasiment tout le film, sauf dans la scène de fin.
Le Joker nous ramène à notre condition d’animal amoral, nous expliquant que nous n’avons jamais totalement cessé d’être des bêtes. Le Joker, de son coté, existe à cause de Batman, parce que l’existence du super-héros l’a poussé à l’attaquer, juste pour le plaisir. Qui ne l’a jamais imité ? Sans remettre en question l’excellente performance du reste du casting, on ne peut que constater que c’est le personnage d’Hannibal Lecter qui fait passer le film du statut de « très bonne production » à « chef d’œuvre ».