Tiré de la voiture, une Citroën Ami 6 (d'où son prénom), par un Ainsi, c'est Aziz qui épouse Lila (ayant gagné un vote puisqu'il a fourni « douze Pioneer laser et quarante enceintes Bose »), mais lui aussi est emprisonné, car le joaillier chez qui il a acheté la bague l'a injustement accusé de vol (Aziz ne pouvait point plaider sa cause, car il a oublié de réclamer la facture), quoique cette bague soit une des rares choses qu'il ait achetées honnêtement puisqu'un « cadeau de fiançailles, quand on est honnête, ça ne se vole pas ». Commence alors un voyage initiatique, nourri d'une amitié imprévisible entre deux êtres, Aziz et son accompagnateur, qui n'auraient jamais du se rencontrer. C'est bon d'avoir eu un copain.
L’homme n’aime pas comme Aziz est attiré de sa femme. Ils lui avaient déjà pris son billet. Un petit garçon est recueilli à bord d'une Ami 6 sur la route près de Marseille.
C'est le voyage d'un personnage qui se présente dès le début comme anti-héros: À découvrir ! Cette simplicité, cette délicatesse dans le silence, cette attention bienveillante qu'il me porte, cette maturité d'enfant vieux comme les pierres qui a vu couler les siècles autour de ses certitudes...
Dans la voiture se trouvaient une femme, un homme et leur enfant. Avec Un aller simple, j'ai voyagé, j'ai ri, j'ai été touchée, j'ai aimé. Un aller simple est une belle histoire d'amitié entre deux hommes que tout sépare et qui apprennent à se connaître au fil du voyage, racontée avec un brin d'humour et une pincée de poésie.
Auteurs proches de Didier Van Cauwelaert - Il faut que tu comprennes une chose, Aziz : ça fait trois jours que la Brigade a ces types sur le dos, qu'ils réclament des clandestins, des clandestins, des clandestins ! En effet, des policiers ont fait irruption dans le café Marchelli où Aziz a invité Lila et sa famille pour le repas de fiançailles et l'ont emmené sans que les Manouches aient réagi. Mais au milieu du banquet de fiançailles, il se fait arrêter par la police.
Au vol ils font l’amitié et ils rencontrent une femme avec son bébé, et son homme. Avec le temps, pour aller plus vite, c'est devenu Aziz. Ensuite, il confesse que si quelqu'un lui vole son atlas, ce serait une perte plus importante que d'avoir perdu Lila, car l'amour pour Lila a moins de poids à ses yeux que les études. Vous aimez ce livre ? Alors on m'a appelé Ami 6 en souvenir. Résultat, dans quelques heures, un atta... Rejoignez Babelio pour découvrir vos prochaines lectures Le roman remporte le prix Goncourt en novembre 1994 grâce à la double voix du président de l'Académie Goncourt, Hervé Bazin1. Aziz et Jean- Pierre vont à l’aéroport. Babelio vous suggère Résumé du document Il y a 19 ans, un tsigane a percuté une voiture, Ami 6 Citroën.
C'est Vasile, avec sa camionnette de pizzaïolo qui a embouti la voiture et tué les parents du petit. Sa vie bascule le jour où le gouvernement lance une grande opération de retour au pays. Autres livres de Didier Van Cauwelaert (60) Si on se laisse aller au désespoir, on finit mangé par les rêves qu'on a vécus de travers. Aziz se lie rapidement d'amitié avec lui, puisqu'ils ont quelques points en commun et Aziz éprouve de la sympathie pour lui, et puisqu'il a besoin de rêve, pour oublier sa femme, lui raconte l'histoire de Lila et parle d'Irghiz, un endroit imaginaire et son lieu de naissance imaginaire, situé selon Aziz dans l'Jean-Pierre Schneider décide alors d'écrire plus tard un livre à l'aide de ses notes au sujet d'Aziz, qu'il intitulera
Dans le bureau du commissaire, Aziz se présente comme anti-héros, il se met à pleurer, parce que c'est la première fois qu'il est traité de façon injuste. Un roman drôle et poignant.
Jétais ladopté, je restais à ma place.
Aziz est marseillais, il ne connait rien de ce pays, de ces coutumes, de ces habitants et de leur langue. Didier van Cauwelaert - Un aller simple Résumé du roman Dans ce roman, Didier van Cauwelaert nous fait participer au voyage rocambolesque d'Aziz Kemal. L'attaché humanitaire est déprimé, puisqu'il est en instance de divorce avec Clémentine, sa femme. Là, il y a un protêt mais ils peuvent aller au Maroc. Ce garçon me bouleverse. Aziz a obtenu la main de Lila, son amour depuis toujours, pour quelques autoradios volés et de nombreuses tractations. Le roman s'appellera Un aller simple. Ils sont dans un état ; on n'en peut plus... Ils ont foutu le bordel au Centre de rétention : ils veulent pas comprendre que les gusses qu'on chope sans papiers ne disent jamais de quel pays ils viennent, comme ça on peut pas les expulser ; (...) Le seul qu'ils ont trouvé à reconduire avant toi, c'était un Noir de Basse-Terre. opposant : sa situation initiale, l'ambiguïté de son milieu d'adoption qui l'accueille et le rejette. Les parents sont tués sur le coup. Tu te rends compte ? Il a fallu qu'on leur rappelle que la Guadeloupe, c'est français.
Volé avec la voiture, en fait.
Après que le gouvernement a pris des mesures pour les clandestins avec l'Office des migrations internationales (OMI), Aziz est envoyé au Maroc en compagnie d'un « attaché humanitaire », Jean-Pierre Schneider, qui a pour mission de le reconduire sur son « lieu d'origine », de l'aider à « renouer avec ses racines », de l'épauler dans la recherche d'emploi auprès des autorités locales. C'est moins douloureux qu'une femme, quand ça vous quitte.
Mais Un aller simple est le dernier titre choisi par Jean Pierre pour le roman qu'il commence pendant le voyage " Plus jamais je ne retournerai en arrière. En effet, l'énigme sur la naissance d'Aziz, homme qu'on pourrait traiter sans nationalité, est révélé dans une narration crue qui nous fait bonne entrée dans la lecture, son expulsion accompagné d'un agent de l'administration vers un monde inconnu de tous les deux nous surprend encore plus, puis on tombe dans une amitié entre deux hommes perdu dans la société...l'aventure vers l'inconnu va fortifier cette amitié...