De son vrai nom Marc Stéphane Ahlonko Bruce, Nana Anè est inconnu dans sa propre famille Bruce.
Elle trouve ses racines dans des pactes conclus par les rois successifs avec les membres de certaines familles alliées dont les fils et filles demeurent à ce jour, les hommes et femmes de confiance de la cour. Qu’est ce qu’ils iront chercher chez ce roi dit des Mina?Les familles alliées constituent une véritable ossature pour le royaume Lolan.
Les ressentiments étaient si forts et tenaces qu’il a fallu l’implication personnelle du président Sylvanus Olympio pour que les deux Chefs puissent fumer le calumet de la paix.La victoire des Lawson et alliés, quoiqu’incontestable, ne fut pas décisive et la course au pouvoir entre ces deux clans se poursuivra, avec des fortunes diverses, jusqu’en 1961, lorsque le président Sylvanus Olympio leur imposa, pression politique oblige, une paix des braves le 23 avril 1961.Il a été demandé au Roi Lawson VII, Chef Supérieur de la ville d ’Aného à l’époque, de « rejeter » le titre de « Chef Supérieur » pour la paix et la sérénité dans la ville d’Aného.
Un fourre-tout qu’il s’est taillé pour endormir même les plus sceptiques.
Il fut inscrit au collège de la Cour royale comme son père Latévi Ayiku. C’est dans cette condition que Latévi Ayiku fut conduit en Angleterre où il séjourna pendant 18 ans. Cet homme à la voix haute a fini par créer autour de sa personne des suspicions et des inquiétudes, car tous ceux qui lui donnent conseils et avis qu’ils jugent contraires à ses ambitions deviennent ses ennemis.
D’autres quartiers furent créés pour accueillir la communauté Guin.
Comme tout bon opérateur économique dans un régime comme le nôtre, dira-t-il. C’est ainsi que la ville d’Aného se retrouve aujourd’hui avec deux Chefs traditionnels. Le roi accepta la proposition. Que les Adjigo, et ils sont nombreux ceux et celles qui l’ont désapprouvé depuis son intronisation, trouvent ici notre gratitude et notre profond respect. Le couple donna naissance à des enfants dont l’aîné se nomme Latévi Ayiku. A l’époque, il était comptable et adjoint du Responsable du Bureau Togo de la société pétrolière British Petroleum (BP) dont la direction était sur le Boulevard Circulaire (actuelle Galerie Ogarit à côté de Nopégali Plage) et il avait loué à Bè Savonnerie dans la parcelle familiale des Ahadji-Nonou.Ayant été abusivement licencié, il a eu droit à des dommages à lui versés par ladite société, ce qui lui a permis de se lancer dans l’importation du riz, lorsqu’on l’a emmené présenter ses excuses aux feus Eyadéma et Ernest Gnassingbé ; ce dernier étant devenu selon ses propres dires son principal client pour le riz à servir dans les casernes militaires.Et assez souvent, il ajoute que feu Ernest lui devait une ardoise avant son décès. La liste qui suit concerne uniquement les chefs du clan Lawson.
Le palais royal Lolan comprenait à l’époque deux endroits dénommés respectivement : New London et Liverpool.Rappelons que cet endroit a été cédé à Laté Avla par Do Foli originaire de Zowla installé à l’emplacement de Dékamé.Pour les festivités marquant le 10è anniversaire de l’intronisation de Sa Majesté Togbé Ahuawoto Savado Zankli Lawson VIII, une invitation royale a été adressée à Nana Anè fraichement élu, par défaut, sur le trône des Adjigo. Outre les huit souverains qu'elle a donné à la ville d'Aného, la famille Lawson a fourni plusieurs personnalités du monde politique et culturel au Par la suite, Laté Awoukou aurait envoyé l'un de ses fils, Akouété Zankli, en Ce n'est vraiment qu'à partir de Lawson III que la famille revendique le titre de roi d'Aného. NON SEULEMENT PAR IRONIE... En refusant de signer le protocole des chefs d'État portant limitation du nombre des mandats présidentiels à deux, protocole qui a cependant recueilli l'accord de 8 chefs d'État sur 10, Gnassingbé n'a rien révélé de neuf, ni de sa personnalité, ni de ses intentions que nous, je veux …
Elle trouve ses racines dans des pactes conclus par les rois successifs avec les membres de certaines familles alliées dont les fils et filles demeurent à ce jour, les hommes et femmes de confiance de la cour. Qu’est ce qu’ils iront chercher chez ce roi dit des Mina?Les familles alliées constituent une véritable ossature pour le royaume Lolan.
Les ressentiments étaient si forts et tenaces qu’il a fallu l’implication personnelle du président Sylvanus Olympio pour que les deux Chefs puissent fumer le calumet de la paix.La victoire des Lawson et alliés, quoiqu’incontestable, ne fut pas décisive et la course au pouvoir entre ces deux clans se poursuivra, avec des fortunes diverses, jusqu’en 1961, lorsque le président Sylvanus Olympio leur imposa, pression politique oblige, une paix des braves le 23 avril 1961.Il a été demandé au Roi Lawson VII, Chef Supérieur de la ville d ’Aného à l’époque, de « rejeter » le titre de « Chef Supérieur » pour la paix et la sérénité dans la ville d’Aného.
Un fourre-tout qu’il s’est taillé pour endormir même les plus sceptiques.
Il fut inscrit au collège de la Cour royale comme son père Latévi Ayiku. C’est dans cette condition que Latévi Ayiku fut conduit en Angleterre où il séjourna pendant 18 ans. Cet homme à la voix haute a fini par créer autour de sa personne des suspicions et des inquiétudes, car tous ceux qui lui donnent conseils et avis qu’ils jugent contraires à ses ambitions deviennent ses ennemis.
D’autres quartiers furent créés pour accueillir la communauté Guin.
Comme tout bon opérateur économique dans un régime comme le nôtre, dira-t-il. C’est ainsi que la ville d’Aného se retrouve aujourd’hui avec deux Chefs traditionnels. Le roi accepta la proposition. Que les Adjigo, et ils sont nombreux ceux et celles qui l’ont désapprouvé depuis son intronisation, trouvent ici notre gratitude et notre profond respect. Le couple donna naissance à des enfants dont l’aîné se nomme Latévi Ayiku. A l’époque, il était comptable et adjoint du Responsable du Bureau Togo de la société pétrolière British Petroleum (BP) dont la direction était sur le Boulevard Circulaire (actuelle Galerie Ogarit à côté de Nopégali Plage) et il avait loué à Bè Savonnerie dans la parcelle familiale des Ahadji-Nonou.Ayant été abusivement licencié, il a eu droit à des dommages à lui versés par ladite société, ce qui lui a permis de se lancer dans l’importation du riz, lorsqu’on l’a emmené présenter ses excuses aux feus Eyadéma et Ernest Gnassingbé ; ce dernier étant devenu selon ses propres dires son principal client pour le riz à servir dans les casernes militaires.Et assez souvent, il ajoute que feu Ernest lui devait une ardoise avant son décès. La liste qui suit concerne uniquement les chefs du clan Lawson.
Le palais royal Lolan comprenait à l’époque deux endroits dénommés respectivement : New London et Liverpool.Rappelons que cet endroit a été cédé à Laté Avla par Do Foli originaire de Zowla installé à l’emplacement de Dékamé.Pour les festivités marquant le 10è anniversaire de l’intronisation de Sa Majesté Togbé Ahuawoto Savado Zankli Lawson VIII, une invitation royale a été adressée à Nana Anè fraichement élu, par défaut, sur le trône des Adjigo. Outre les huit souverains qu'elle a donné à la ville d'Aného, la famille Lawson a fourni plusieurs personnalités du monde politique et culturel au Par la suite, Laté Awoukou aurait envoyé l'un de ses fils, Akouété Zankli, en Ce n'est vraiment qu'à partir de Lawson III que la famille revendique le titre de roi d'Aného. NON SEULEMENT PAR IRONIE... En refusant de signer le protocole des chefs d'État portant limitation du nombre des mandats présidentiels à deux, protocole qui a cependant recueilli l'accord de 8 chefs d'État sur 10, Gnassingbé n'a rien révélé de neuf, ni de sa personnalité, ni de ses intentions que nous, je veux …