Ministère de l’Economie, du Plan, de l’Aménagement du Territoire et de l’Intégration, Centre National de la Statistique et des Etudes Economiques (2011). Cela constituerait un progrès considérable, étant donné que la dette atteignait environ 118 % du PIB en 2017. La pauvreté a généralement régressé au Congo-Brazzaville en dix ans, passant de 51 pour cent en 2005 à 36 pour cent en 2015, a déclaré, mercredi à Brazzaville, le Représentant-Résident de la Banque mondiale.Djibrilla Issa rendait public un rapport de l’institution financière internationale intitulé ’’Education, Emplois et protection sociale pour une réduction durable de la pauvreté’’,« Ce recul de la pauvreté est la conséquence de la forte croissance économique qu’a connue le Congo durant la période étudiée et l’amélioration du niveau d’éducation », a indiqué Djibrilla Issa.Bien que le gouvernement a consacré des efforts considérables à l’amélioration des conditions de vie des populations en investissant dans les infrastructures, la santé et l’éducation, la croissance notée n’a pas été suffisamment inclusive, souligne le rapport.A ce propos, le représentant de la Banque mondiale relève que le rapport fait ressortir le fossé entre les deux principales villes du pays, Brazzaville/Pointe-Noire, et le reste du pays.Si la capitale affiche une diminution de 20 points dans la régression de la pauvreté là où Pointe-Noire est créditée de 13 points (2005-2011), le reste du pays a vu la pauvreté diminuer de 64% en 2005 contre 69,4% en 2011.Partant de là, Djibrilla Issa a invité les autorités congolaises à investir dans le capital humain, à fournir de meilleurs services sociaux de base à la population, à accroitre la productivité de l’agriculture et la commercialisation des produits agricoles.L’Etat doit aussi soutenir le développement d’un secteur privé créateur d’emplois, augmenter la fréquence de collecte des données sur la pauvreté en vue de l’éradiquer durablement, estime le rapport.Justifiant la publication de ce rapport, Djibrilla Issa a souligné qu’il « était important pour la Banque Mondiale qui a entamé l’élaboration de son cadre de partenariat d’appui au Congo pour 2017-2021, de procéder d’abord à une analyse de la situation de la pauvreté afin de mieux guider nos actions et les rendre plus efficaces».Selon lui, « de concert avec ses pays membres, la Banque Mondiale s’est assigné deux objectifs très spécifiques :réduire l’extrême pauvreté à l’horizon 2030 et promouvoir une prospérité partagé en réduisant le taux de pauvreté à 3% et les inégalité en s’assurant que les 40% les plus pauvres ont une croissance de leur revenus supérieure à la moyenne».Restez informés sur toute l'actualité entrecongolais.com !Le contenu de ce champ sera maintenu privé et ne sera pas affiché publiquement. Recevez les dernieres infos de Congopage directement dans votre boite email.

La croissance du crédit au secteur privé a été négative et les prêts improductifs ont augmenté pour atteindre 24 % du total des prêts bruts fin septembre.
À la tête de la République populaire du Congo de 1979 à 1992, le président Denis Sassou-Nguesso dirige à nouveau le pays depuis 1997.

Enfin, le Fonds monétaire international a signé avec les autorités un programme de soutien à la reprise économique en juillet 2019.Découvrez les activités des autres institutions du Groupe de la Banque mondiale en Congo (République du). Santé – Cancer du sein : Sucer les seins de sa partenaire peut réduire l'apparition de la maladie Doulou V. (2000). Cette évolution est particulièrement bienvenue, car il est essentiel de diversifier les exportations pour favoriser l’équilibre des échanges commerciaux lorsque la production de pétrole commencera à fléchir.
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