Aucune fausse note sur l'ambiance, de l'Angleterre du 18ème siècle au fin fond de la jungle amazonienne en passant par l'océan atlantique, le voyage est emballant. Au delà d'une ou deux erreurs, ( je ne reviendrais pas sur la jambe de bois qui fluctue un brin) nous avons là une épopée une aventure, et par les temps qui cours il ne faut pas être trop pointilleux.
Effectivement l'histoire se termine de manière explosive. 3 [Dossier BD] Les 200 BD à lire dans sa vie ! Long John Silver, Tome 2, Long John Silver intégrale - Tome 2 - Long John Silver intégrale, Mathieu Lauffray, Dorison Xavier, Dargaud. Mathieu Lauffray est né le 17 février 1970 à Paris. Magnifique ... Magistral !!
Les rares scènes de combats sont brouillons et on en vient à remercier le fait qu'elles ne sont pas nombreuses. libraire sur Fnac.com Retrouvez les meilleurs conseils Fnac très belle fin d'histoire, des dessins magnifiques, dans la ligné des précédents. Dorison nous emmène dans un style ésotérique qu’il a l’air d’affectionner quand on connaît déjà un peu l'œuvre de ce scénariste, donc il fallait s’attendre un peu à découvrir le même genre. A part le premier tome qui était bien (très bien même), le reste est une catastrophe sur tous les plans. La narration dans les trois dernières pages offre une conclusion pleine d'émotion. Vous aimez ce livre ? » Cent fois un temple rempli d'or... Lord Byron a réussi my Lady, et voici la preuve : cette carte est une voie toute tracée vers la plus fabuleuse cité perdue... Très très bon troisième tome ! Il y a longtemps déjà, Don Almeda racontait « L'Inca Atahualpa aurait pu payer cent fois sa rançon d'or à Cortès s'il avait connu l'existence de cette cité. Un nouveau grand classique du franco-belge. Une fin en apothéose pour les héros comme pour la série, que demander de plus pour renforcer l'aspect épique de ce dernier tome... Un opus à l'image d'une vie de piraterie, vive, haute en couleurs, violente, légendaire mais trop courte ! Je vien de relire la série, seul chose a dire..
Il n'y a plus déjà les mauvais pirates fourbes d'un côtés, traités comme des chiens par des nobles qui se pensent supérieurs. Vivement le dernier tome. Pas de happy end bidon, de vrais personnages et dans quels décors. Les auteurs souhaitaient faire de Long John Silver un hommage humble à l'oeuvre de Stevenson. Narration mal fichue, ça ne s'enchaîne plus aussi bien. Le premier album en tout cas est une perfection pour ce qui est du scénario : très bonne introduction des personnages et des enjeux, j'ai rarement vu une exposition aussi bonne. Ils en ont capté l'essence, l'âme sans dénaturer présomptueusement. Critiques (56), citations (32), extraits de Long John Silver, Tome 1 : Lady Vivian Hastings de Xavier Dorison. Même si les 2 premiers tomes restent corrects, j'ai l'impression que les auteurs nous prennent pour des idiots en se disant "on va surfer sur le succès du "Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal....." Cette série au bout du compte c'est quoi: ça sent Baudelaire, Heredia, Conrad et Stevenson tiens. ( Seul problème : je croyais que sa jambe était coupée jusqu'à la cuisse ! Voila les mots qui me viennent à l'esprit quand j'entends parler de Long John Silver. Guyanacapac existe my Lady. Je suis peut être un peu dur .. Je ne sais pas de quelle façon ont travaillé les auteurs mais il faut noter que Mathieu Lauffray est crédité également comme co-scénariste.