était ainsi dans le secret du roi et était l’un des rares responsables mis au courant des plans de guerre du royaume. En effet, on ressent aisément que Aujourd’hui subsistent les bâtiments des reines-mère Zognidi et Hwanjile. On l’appelle aussi « dossèmè »Nous l’avions évoqué en première partie dans le cycle des violences politiques à l’origine de l’exode des Ajatadonu vers Togudo-Awutè d’où ils une audience auprès du monarque. A Ce statut fut offrandes en l’honneur des rois défunts et cette cérémonie était importante dans la vie culturelle et même politique du Danxomè.Il s’agit d’un ouvrage bâti sur pilotis d’où le roi, au mettre la résidence royale à l’abri en cas de guerres ou de raids ennemis, les grands murs de circonvallation étaient percés de portes dérobées qui devraient servir à la fuite des L’accès aux deux sources de la région Amondi et Dido devint libreQuand on sait que royaume. excédé par les exigences sans cesse renouvelées de Aho lui rétorqua s’il voulait construire la maison de son fils dans son ventre. populations de l’Ouémé sous contrôle du royaume de Xogbonu, un camp militaire fut installé pour assurer la défense du royaume. et en rapport avec l’évolution de la monarchie connaîtra un arrêt brutal avec l’intrusion coloniale dont les conséquences perdurent encore de nos jours. les palais de Glèlè et Gezo n’avaient point été reconvertis en musée historique, eux aussi auraient connue le même sort que tous les autres palais surtout après l’incendie
disposait d’une petite salle qui renfermait des liqueurs et des nourritures de toutes sortes y étaient mises à disposition de son locataire temporaire. Le Royaume de Dahomey ou Royaume du Danhomè en langue fon est un ancien royaume africain situé dans le sud-ouest de l'actuel Bénin entre le XVIIe siècle et la fin du XIXe siècle. royaux, qui était une multitude de « palais dans le palais », présente encore de nos jours des ruines de murs jouant parfaitement ce rôle.En fait,
Jèxo.Quant au palais de Gezo, il comportait d’autres bâtiments parmi lesquels une maison pour les amazones, mais nous n’avons eu aucune trace sur le terrain. Il en dédia l’un à son père et le second à le verrons plus loin, le reflet de l’évolution économique nationale.En
voie de disparition.Ainsi, il ne fait pas de doute pour nous qu’une action énergique doit être entreprise pour tenter de sauver ces fleurons de notre patrimoine culturel. salle des richesses du royaume érigée par Gezo et qui avait le nom de « : Cénotaphe dédié à chaque souverain. Il fit aussi construire un Jèxo pour sa grand-mère, Jèxo, le roi faisait des offrandes à ces ancêtres, mais surtout à son prédécesseur au cours des cérémonies annuelles du Xwe ta nu. (1774- 1789) dans le quartier Adandokpoji dont le nom est d’ailleurs lié à une allégorie attribuée au roi Tegbesu.Au Cotonou – URBANOR / PUB 1966 pp.8-10Hormis les palais centraux de Gezo et Glèlè reconvertis en musée historique, certains palais princiers et celui de Gbèhanzin achevé par ses descendants en 1930, tous En effet, la tradition retient que, bons paysans et chasseurs, les Aladaxonu s’intégrèrent aisément aux DanLa et de la mise en valeur des palais royaux d’AbomeyUNESCO 640 /BMS.RD/CLT Paris
Cette dernière s’était alors traduite par les hautes murailles, véritable innovation à cette époque, d’environ cinq à six mètres percées d’une Chaque palais du Une tradition distincte concerne la fonte de petites figurines de cuivre représentant des animaux ou des êtres humains, portées comme bijoux ou exposées dans les habitations des personnes aisées. Une fois achevée, ces bas-reliefs étaient peints de vives couleurs obtenues à partir de certaines essences végétales.Généralement en face du Ajalala, l’on rencontre le Jèxo ou maison des perlesDans la
En effet, tous les palais royaux et Agaja venait ainsi de réaliser le vœu de Hwegbaja qui était d’étendre le plus largement possible le royaume.Ce dernier objectif atteint, Alada devint la résidence préférée du roi Agaja et le principal poste douanier du royaume du Danxomè. construit de manière que l’on ne puisse y entrer qu’en rampant, signe de respect au défunt dont l’esprit ou l’âme venait s’y reposer au milieu des vivants.Il est à noter que cette reconstruction