Un tout premier album sort en 1984 sous le nom de "Ancien combattant", titre éponyme qui devient un des plus fameux morceaux du chanteur et son premier tube. - Le chanteur congolais Zao a donné vie à l’"ancien combattant" qui a survécu à "la guerre mondiaux". As a result, the site will be taken offline completely effective 24:00 EST today. J’ai fui dans la forêt", explique-t-il, en précisant y être resté "neuf mois, sans contact, sans rien". Annoncé pour mort il y a quelques semaines,l’artiste chanteur Casimire Zoba dit Zao qui est encore bien vivant a été honoré par le chef de l’État,Sans doute avec la crainte que cette fois la nouvelle soit vraie et que l’État soit encore taxé d’ingratitude envers son digne fils. Former drummer Jesse Smith, singer Dan Weyandt, and guitarists Scott Mellinger and Russ Cogdell are seen by some fans as the "core" of Zao, with the current line up being the longest running in the band's history. Lui-même donné pour mort lorsqu’il a dû se réfugier dans la forêt pour échapper à la guerre, il en a réchappé et, aujourd’hui, veut chanter à … 1398 relations: "Weird Al" Yankovic, A Fábrica do Poema, Aaron Lewis, Aaron Schroeder, Abderrahmane Abdelli, Abderrahmane Amalou (poète), Abed Azrié, Abel (homonymie), Acher Mi Zao, né Casimir Zoba le 24 mars 1953 à Goma Tsé-Tsé (République du Congo), est un artiste congolais auteur-compositeur, musicien et chanteur (en français lari et lingala), dont l'œuvre se caractérise par des textes engagés abordant souvent des sujets tabous dans la société congolaise sur un ton humoristique. J’ai été amputé de mes projets. Zao, né Casimir Zoba le 24 mars 1953 à Goma Tsé-Tsé (République du Congo), est un artiste congolais auteur-compositeur, musicien et chanteur (en français et lingala), dont l’œuvre se caractérise par des textes engagés abordant souvent des sujets tabous dans la société congolaise sur un ton humoristique.. Biographie. "Dieu merci, je n’ai pas trouvé la mort, mais on a annoncé que j’étais décédé à la radio", ajoute-t-il.Enseignant de formation, Zao présente aujourd’hui le physique d’une personne bien nourrie, aux joues rondes, à plusieurs années et épaisseurs du jeune homme mince de ses débuts en solo, dans les années 1980.Casimir Zoba, de son vrai nom, est né à Goma Tsé-Tsé, dans le Pool (à 25 km de Brazzaville), selon une biographie publiée par le site Internet de RFI-Musique (Distingué par le prix "Découvertes" de Radio France internationale (RFI) pour son titre "Sorcier ensorcelé", il rencontre véritablement le succès avec "Ancien combattant", un de ses premiers et plus fameux tubes dans lequel un ancien tirailleur raconte, dans son français à lui, les horreurs de la guerre : "le peuple cadavéré" (tué), "tout le monde affamé, "les enfants bombés" (bombardés) et même "la poule qui ne poule plus les oeufs"...Depuis, sur scène et à la télévision, Zao a chanté, caricaturé, mimé, empruntant parfois aux personnages de ses chansons leur ton aviné ou leur panoplie, comme les casques, treillis et médailles militaires de l’"Ancien combattant").Il a encore beaucoup distrait samedi soir au stade Iba Mar Diop de Dakar, lors du dernier concert d’Africa Fête en compagnie de Salif Keïta (Mali), Omar Pène, Coumba Gawlo Seck, Alioune Mbaye Nder (Sénégal) et Faso Kombat (Burkina Faso).Mais il ne veut plus continuer, en raison notamment de déboires dans le milieu : "J’emmène huit musiciens à Paris, cinq d’entre eux fuient.
Lui-même donné pour mort lorsqu’il a dû se réfugier dans la forêt pour échapper à la guerre, il en a réchappé et, aujourd’hui, veut chanter à la maison et "prendre (sa) bière tranquillement". Zao, né Casimir Zoba le 24 mars 1953 à Goma Tsé-Tsé (République du Congo), est un artiste congolais auteur-compositeur, musicien et chanteur (en français et lingala), dont l'œuvre se caractérise par des textes engagés abordant souvent des sujets tabous dans la société congolaise sur un ton humoristique. « La guerre, ce n’est pas bon. Zao chante seul depuis le début des années 1980, dans un style humoristique, des chansons sur des sujets sensibles, voire tabous, comme la sorcellerie avec Son fils âgé de quatre ans meurt lors de la guerre civile congolaise, en 1998. For a time, the band featured Christian themes in their music and was regarded a Zao chante seul depuis le début des années 1980, dans un style humoristique, des chansons sur des sujets sensibles, voire tabous, comme la sorcellerie avec François Bensignor, « Zao. On était réveillé par les coups de Kalachnikov. Recevez les dernieres infos de Congopage directement dans votre boite email. Mardi 7 décembre 2004, 10h41. Avec Deezer, musique en streaming, découvrez plus de 56 millions de titres, créez vos propres playlists, téléchargez-les et partagez vos titres préférés avec vos amis. Zao chante seul depuis le début des annéesdans un style humoristique, des chansons sur des sujets sensibles, voire tabous, comme la sorcellerie avec Sorcier ensorceléla mort avec Corbillardl’antimilitarisme avec Ancien Combattantson premier succès, ou encore le sida, les femmes, la bureaucratie, la corruption [ 1 ]. Je veux jeter l’éponge, me retirer de la scène", affirme Zao qui a rencontré la presse dans la capitale sénégalaise, à l’issue du 4è festival de musique Africa Fête, vendredi.Le chanteur se dit gagné par le "découragement" mais n’a pas pour autant perdu le sens de l’humour qui marque ses chansons.Quand on lui demande, par exemple, ce qui s’est passé pour qu’on ait annoncé son décès, il y a quelques années, il répond en souriant : "Peut-être parce que j’ai chanté +Corbillard+", histoire d’un mort qui ne veut pas aller au cimetière et tente de faire rebrousser chemin au véhicule funéraire.Puis il se fait sérieux, presque grave, en évoquant les guerres civiles ayant secoué en 1997 et 1998 les départements du sud de son pays et la capitale, Brazzaville. Ca décourage ! Lui-même donné pour mort lorsqu’il a dû se réfugier dans la forêt pour échapper à la guerre, il en a réchappé et, aujourd’hui, veut chanter à la maison et "prendre (sa) bière tranquillement".
Zao - Écoutez Zao sur Deezer. Ce succès séduit le label français Barclay qui signe Zao l'année suivante. En 1978, il entre à l'École normale des instituteurs. Il chante dans une chorale chrétienne entre 1973 et 1975, avant de devenir percussionniste dans l'ensemble Les Anges, l'un des plus fameux groupes congolais de l'époque.